Habitat de fortune. Non, ici : on ne pique-nique pas. C’est tous les jours la débrouille, la dèche, le litron à pas un rond. Sous le pont Saint-Michel, à deux encablures du Quai de Tounis, un quai tout beau, tout gai, l’humanité a de drôles d’allures : pas de visage, pas de nom, pas d’existence. Humanité absente.
Sous le pont
Habitat de fortune. Non, ici : on ne pique-nique pas. C’est tous les jours la débrouille, la dèche, le litron à pas un rond. Sous le pont Saint-Michel, à deux encablures du Quai de Tounis, un quai tout beau, tout gai, l’humanité a de drôles d’allures : pas de visage, pas de nom, pas d’existence. Humanité absente.
Très beau texte.
@Cécile : merci pour ton commentaire, et ta lecture de ma prose, dont je ne suis pas sûre qu’il faut comprendre le sens, mais plutôt le laisser infuser…
J’aime beaucoup ce texte, dont je ne suis pas sûre d’avoir compris le sens mais dont le rythme me parle. Merci