Deux choses qui fascinent les gosses et ceux qui ont gardé leur âme d’enfant : les bulles de savon et les arcs en ciel. C’est le côté irisé sans doute, qui n’est pas aussi admirable sur une surface d’artefact, où là, il vire carrément au kitsch (faux cuir, sequins sur les t-shirts des fillettes, fard à paupières même). Ça apporte quoi un arc-en-ciel dans un ciel d’après orage, chargé comme un nuage d’encre prêt à exploser ? Tout au plus un peu d’espoir ainsi qu’un arc-en-ciel dans le ciel apocalyptique d’un accident nucléaire : ça n’a rien à foutre là. Un petit bout de ciel balafré par un pinceau plein d’aquarelle qui n’en finit pas de couler. Un vrai merdier météorologique. Nom de Dieu. Saint Pierre pleure des larmes de joie.
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